Entraîné par mes garçons, je pratique le surf aussi souvent que possible. À chaque fois, ce sport exigeant m'apporte de nouveaux enseignements. Son apprentissage est une succession d'étapes où mental et physique doivent être parfaitement alignés. Quand on est à l'eau, il faut être authentique.Ce mot d'ordre comportemental, je tente de l'appliquer à ma vie professionnelle. Il me permet d'être davantage réceptif au monde qui nous entoure, de mieux discerner ce qui est vraiment important pour mieux le protéger.
Car notre monde et nos sociétés sont en profonde mutation. L'urgence climatique et écologique, les préoccupations sanitaires et alimentaires, le lien social et l'impact des bouleversements technologiques en cours sur l'humain, tous ces enjeux majeurs nous interpellent.
De nouveaux modèles de développement se mettent en place où sont encore à imaginer.L'économie circulaire a vocation à remplacer l'économie linéaire.
La culture de l'usage va bientôt dépasser celle de la propriété.
Micro-crédit, économie sociale et solidaire, consommation responsable et économie du partage structurent désormais la manière de produire, de vendre et d'acheter avec l'idée que l'on ne peut plus méconnaitre ce qui se passe à l'autre bout de la planète ou de la chaine de valeur.
Dans un tel contexte, le consommateur se veut citoyen.
Ma conviction, c'est que l'univers de la finance d'entreprise doit contribuer à ces évolutions et donner du sens en se mettant au service du développement humain, durable et du bien commun.
Nous savons que les mécanismes de marché et les lois de l'économie ne peuvent pas tout régler, qu'il existe ce que les économistes appellent des « externalités ». Certaines sont négatives et sont corrigées par des taxes ou la régulation. D'autres sont positives, valorisent l'humain, le lien social, l'insertion et l'accès à l'emploi mais sans relever du circuit des activités marchandes. C'est souvent le monde associatif et les ONG qui prennent le relais des angles morts de l'économie marchande et des politiques publiques.
Nous avons choisi de les aider.Pour participer et contribuer, j'ai décidé de créer la fondation
Autrement Adviso pour soutenir des actions d'intérêt général structurantes grâce à des financements dédiés et des mécénats de compétences de nos équipes. Adviso Partners va ainsi redistribuer chaque année une partie de ses revenus au service de projets qui s'inscrivent dans cette démarche de bien commun.
Parce que nous sommes rentables, nous nous devons d'être responsables.Adviso entend ainsi montrer un visage différent de la finance d'entreprise tout en investissant les enjeux sociaux, éducatifs et environnementaux qui sont clé pour l'Homme et son avenir.
C'est une manière d'être
là où on ne nous attend pas.
C'est aussi l'occasion pour nos équipes de pouvoir s'investir sur des projets extra-professionnels et de concilier leurs convictions avec leur savoir-faire professionnel, ce qui s'inscrit totalement dans notre culture d'entreprise.
Autrement Adviso se prépare donc à soutenir tout particulièrement en 2020 :- Les projets permettant d'optimiser l'orientation professionnelle des adolescents moins favorisés
- Les projets attachés à la protection de l'environnement et aux comportements éco-responsables
- Les projets de valorisation des profils atypiques dans la société
Renforcer son impact sur la société et la planète, c'est aussi de l'innovation financière !
Bertrand Thimonier,Président-Fondateur d'Adviso Partners
